C'est un cancer du visage, des paumes et des plantes de pieds.
Il n'est pas dangereux mais il a la fâcheuse faculté de gagner du terrain. Dans cette famille du " baso ", on en trouve un qui tout de même met les jours en danger, c'est le basocellulaire sctéro-dermiforme, le seul qui creuse en profondeur, s'infiltre jusqu'aux plans musculaires et osseux.
Il loge volontiers dans les plis, sillons du nez ou de l'oreille.
Son aspect
Mais la plupart des " baso " sont des cancers superficiels, sortes de pastilles rose pâle ou brunâtres, à limites nettes soulignées par un fin ourlet de perles minuscules et translucides. C'est en effet à ce détail, la " perle ", qu'on reconnaît le cancer baso-cellulaire.
Parfois ces perles sont noires ou bleutées, ce qui ne manque pas de leur donner un aspect effrayant. Mais, en fait, il s'agit d'une surcharge de mélanine et non pas d'un mélanome malin.
Parfois, au lieu d'une bordure perlée entourant une petite plaque, on trouve une seule et unique perle, volumineuse. Le " baso " peut également être constitué de plusieurs perles mélangées, ce qui lui donne une forme nodulaire.
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